Inside the Matrice. Vous etes au numero 106. Vous augmentez la vitesse de frappe, et Simth, qui semblait remplit d'aisance au depart, est obligé de donner toutes ses possibilités pour parer vos coups.

Votre vitesse augmente, augmente encore...C'est impossible ? On en peut pas recevoir un coup avant que vous ne l'ayez donné !

La lumiere bienfaisante de la comprehension brilla soudain en vous.

L'agent qui venait vers vous n'était plus du tout menacant. C'était un simple paquet de donné. Quelqu'un l'avait programmé, quelqu'un (ou plutot quelque chose) l'avait dessiné... Vous étiez dans un monde de chiffres...Rien de plus. Le 'mal de la matrice', c'était votre cerveau fraichement sortit qui devait se réhabituer à la matrice, qui devait la considerer comme étant le monde reel tout en sachant qu'elle ne l'est pas. A ce moment là, vous effleuriez du doigt ce que vous vivez actuellement. La matrice n'était qu'une projection dans votre esprit.

L'homme qui venait pour vous frapper était en réalité construit par votre esprit, c'est votre esprit qui modelait le monde que les machines ont construit.
Si vous ne vouliez pas etre touché par ses coups, vous ne seriez pas touché. Habituellement, c'est l'esprit qui blesse le corps resté à l'exterieur, car il croit la matrice reelle. Mais maintenant, pour VOTRE esprit, la matrice n'était plus reelle !

"C'est une simulation.", constates tu à voix haute.

Le poing de l'agent passa simplement à travers votre torse.

"Une simulation, reppetez vous. Tu ne peux pas me blesser. Tu n'existes pas."


L'agent souleva ses levres pour laisser apparaitre ses canines. Ou plutot, une image qui ressemblait à des canines humaine.

"Tu commences a comprendre...",fit il mysterieusement.


C'est ainsi que se termina le combat : par la seule force de votre volonté, vos yeux cesserent de regarder le monde virtuel, et s'accrocherent sur le reeL.

*
* *


Tout l'équipage se trouvait reunit en cercle autours de vous, completement médusé.

"Ce n'est pas possible..., souffla Loading.

-J'avoue que je m'étonne moi meme. C'était simple à concevoir, pourtant."

Le capitaine s'épongea le front avec la manche de son pull.

"B-bien...Puisque Luccas a finit ses petites affaires avec l'Oracle, on peut peut être rentrer, maintenant..."


Le voyage de retour se fit dans un silence total, mélange de crainte, d'incompréhension, mais d'espoir, aussi.
Vous veniez de faire ce que meme Neo n'avait jamais reussi à faire. Sortir de la matrice à votre guise.



Rendez vous ici.